Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Publié par Antoine

La stérilisation n'est pas cité en tant que mauvaise pratique dans le Livre de Vie de l'Agneau, pourtant l'insémination y est cité. Alors il faut se poser la question de son utilité dans certain cas, comme l'utilisation de la force animal ou de la viande. En aucun cas elle ne doit être utilisé pour l'augmentation ou la réduction du nombre des animaux dans le royaume.
Multipliez-vous

Genèse 1:22  Dieu les bénit, en disant : Soyez féconds, multipliez, et remplissez les eaux des mers ; et que les oiseaux multiplient sur la terre.

Genèse 9:1  Dieu bénit Noé et ses fils, et leur dit : Soyez féconds, multipliez, et remplissez la terre.

Genèse 9:7  Et vous, soyez féconds et multipliez, répandez-vous sur la terre et multipliez sur elle.

La volonté de Dieu pour les créatures est qu'ils se multiplient naturellement. Réduire leur nombre est contre sa volonté. Il va sans dire que l'homme ne doit pas intervenir dans la multiplication des êtres, dans leur sélection, ni dans leur réduction en nombre. Vous verrez un peu plus loin que c'est le cas parmi les mauvaises pratiques.

 

L'homme au sommet de la création

Genèse 1:26 ¶  Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre.
Genèse 1:27  Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme.
Genèse 1:28  Dieu les bénit, et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l’assujettissez ; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre.

Dieu a rempli la terre pour servir l'homme qui domine ainsi sur les animaux.

Le Livre de Vie de l'Agneau p.137

(23) Ainsi, de compositions en compositions nouvelles, on en arrive à l’homme
qui est la somme de toutes. Il est donc placé au sommet de la création, parce qu’il
porte forcément en lui tout ce que les autres créatures réunies portent en elles.
Étant
dernier-né sur Terre, l’homme est l’héritier de tous les êtres qui le précédèrent. Il
n’est donc pas une espèce comme les autres, car il n’est pas fondation ni mur ni
charpente ni toit, comme le sont les espèces dans leur genre, il est maison tout
entière dans laquelle Dieu habite. Plus aucun être ne pouvait donc être créé après
l’homme qui est forcément l’être le plus grand qui puisse exister. Ici ou ailleurs, il est
toujours le représentant de la Divinité.

En particulier l'homme domine sur le bétail ou ses troupeaux.

 

Le bœuf, la vache et le taureau

Exode 23:4  Si tu rencontres le bœuf de ton ennemi ou son âne égaré, tu le lui ramèneras.

Exode 23:12  Pendant six jours, tu feras ton ouvrage. Mais le septième jour, tu te reposeras, afin que ton bœuf et ton âne aient du repos, afin que le fils de ton esclave et l’étranger aient du relâche.

Le verset montre que l'homme peut utiliser l'animal pour le travail des champs par exemple.

Le bœuf et l'âne sont généralement destiné pour le travail des champs, tandis que le taureau est consacré à être mangé dans la Bible (sacrifice d'expiation).

Le bœuf est un animal castré ou stérilisé, le nom de l'âne n'indique rien. Mais l'intérêt de le stériliser est de le rendre docile pour se servir sa force dans les travaux. L'acte doit être utile.

 

Parmi les mauvaises pratiques

Dans Chapitre 48, j'ai souligné les passages qui peuvent être liens avec la stérilisation.

Chapitre 48 - Le Livre de Vie de l'Agneau p.373

(20) Voici énumérés cette fois, les mauvaises œuvres consécutives à une telle
attitude qui fait sortir Dieu de sa tanière aujourd’hui :
L’élévation de l’homme sur l’homme ;
La recherche des honneurs ;
Les diplômes ;
La domination des uns sur les autres ;
Le pouvoir, l’argent, le profit, la possession ;
La mécanisation du monde ;
L’univers commercial et la mondialisation du trafic ;
Les mauvaises pratiques
L’armement et les arsenaux de guerre ;
L’usage de l’atome et des produits toxiques ;
Les frontières nationales ;
L’immigration, la déportation, la transplantation ;
La conquête et l’occupation de pays étrangers ;
L’appropriation des sols ;
Le développement des villes ;
La construction de maisons isolées ;
L’ensevelissement des campagnes sous du bitume, du ciment et du fer ;
La défiguration des sites ;
L’intense production de déchets urbains et leurs amoncellements ;
La pollution de l’eau, de l’air et de la terre ;
Le vacarme incessant ;
L’aménagement des territoires ;
L’assèchement des lieux humides ;
Le détournement des cours d’eau ou leurs barrages ;
Le pillage de la terre et de la mer ;
Le déboisement ;
La production d’aliments pour le profit ;
Les cultures et les élevages intensifs ;
La monoculture et le mono-élevage ;
La réduction ou l’anéantissement des espèces ;
La disparition des espèces originelles par sélections abusives ;
L’accouplement forcé de bêtes de races différentes ;
L’insémination artificielle des animaux ;
La privation de liberté des bêtes et les cruautés commises sur elles ;
Ainsi que la mort spectacle faite avec eux ;
sont ensemble des abominations aux yeux de l’Éternel !
Par ailleurs,
La modification génétique des organismes vivants ;
La multiplication artificielle des individus ;
La transplantation d’éléments du corps ;
Les mariages illicites ;
La polygamie ;
Le dénigrement de la femme, et son mariage forcé ;
Les dots obligatoires ou coutumières de mariage ;
La fécondation artificielle de la femme ;
L’excision d’une partie intime des petites filles ;
Les figures indélébiles faites sur la peau ;
La captivité et l’exploitation d’êtres humains ;
Le travestissement, l’homosexualité, l’inceste, la pédophilie ;
La violation et l’exploitation des enfants ;
La dislocation des familles ;
La répudiation de la femme ;
L’abandon de ses enfants ou de son père ou de sa mère ;
Ainsi que tout autre forme d’irrespect envers son prochain,
sont aussi des injures faites au Père !

Et encore,
La formation de puissances ;
L’interdépendance des nations ;
L’usage d’une langue unique dans le monde ;
L’utilisation d’une langue étrangère par un peuple ;
L’opposition à l’expression d’autrui ;
L’idolâtrie et autre fanatisme ;
La hiérarchie ;
La soumission de l’homme à l’homme ;
L’abandon de la personnalité et de la souveraineté ;
Le racisme ;
L’exploitation de l’homme ;
Les oppressions et les cruautés commises sur des êtres humains ;
Le labeur ou l’exclusion forcés ;
L’automatisation des gestes ;
Les travaux que l’on fait quotidiennement pour le profit d’autrui ;
Les chants nationaux et autres symboles des nations ;
Les commémorations solennelles ;
Les pèlerinages ;
Les pratiques sectaires ;
L’uniformisation des pensées et des comportements ;
Les propagandes ;
Les incitations à consommer ;
Les modes ;
Le luxe ;
L’usage de substances qui modifient l’esprit, le corps ou le comportement ;
Ainsi que l’orientation des enfants dans ces voies d’abîmes ;
sont ensemble la source de la colère de Dieu, et de son grand festin au soir du
monde.

Pour la viande

De nos jours, la pratique la plus courante est la castration des veaux dans les élevages agricoles, le but n'est pas de réduire le nombre des animaux mais pour leur viande.

A l'inverse, le meilleur spécimen, le taureau est choisi pour la meilleur génétique. La reproduction est soit naturel (par le taureau), soit artificielle (pratique interdite : l'insémination).

Voici l'intérêt de la castration des jeunes veaux :

Vous élevez la progéniture, mâle et femelle jusqu'à ce qu'elle soit prête pour l'abattage. La castration des jeunes taureaux leur permettra de rester plus dociles et de prendre du poids plus rapidement. Une telle viande est particulièrement savoureuse, mais aussi assez chère à élever. Les bovins élevés pour leur viande meurent généralement assez jeunes, à moins de 2 ans, afin de garder la viande tendre, juteuse et savoureuse. Plus longtemps et la viande se raffermit et a beaucoup de cartilage. C'est généralement le cas après 30 mois.

https://fr.quora.com/Pourquoi-ne-mangeons-nous-pas-des-taureaux-de-la-m%C3%AAme-mani%C3%A8re-que-nous-mangeons-des-vaches

La docilité de l'animal

Le deuxième intérêt pour la viande est de rendre le veau plus docile, car le taureau est plus agressif en raison de ses hormones. Les accidents avec ces bêtes sont courantes dans les exploitations.

Mais l'une des deux cause de ces accidents viennent des mauvaises pratiques suivantes :

La production d’aliments pour le profit ;
Les cultures et les élevages intensifs ;

Or, Dieu nous demande de respecter la liberté des animaux tout en prélevant quelques uns d'entre eux pour nous nourrir.

 

La liberté des animaux

Deutéronome 25:4  Tu n’emmuselleras point le bœuf, quand il foulera le grain.

1 Timothée 5:18  Car l’Ecriture dit : Tu n’emmuselleras point le bœuf quand il foule le grain. Et l’ouvrier mérite son salaire.

Ces deux verset montre que l'animal doit garder sa liberté dans son emploi. Le Livre de Vie de l'Agneau explique pourquoi :

Le Livre de Vie de l'Agneau p.440 (la vie simple du sanctuaire)

(26) Comprenez-vous, par ailleurs, que les bêtes qu’on élève dégénèrent au fil
des ans ? Privées de leur liberté, de la nature, de leur nourriture originelle et de leurs
prédateurs qui les maintiennent en bonne santé, elles ne peuvent que régresser. A
cause de cela, les bêtes d’élevage, qui paraissent belles en raison des sélections
continuelles que les hommes ont opérées sur elles pour qu’elles soient toujours d’un
meilleur rapport, sont en vérité des bêtes qui ont depuis longtemps perdu leurs
qualités, notamment nutritives. C’est pourquoi Dieu vous commande aujourd’hui de
faire retourner à l’état sauvage tous les animaux que vous éleviez
. Qu’il s’agisse de
menu ou de gros bétail, ou de bêtes de basse-cour, tous doivent réintégrer la
campagne, les pâturages, les landes, les forêts et les lieux humides pour retrouver
leur liberté et leur état naturel. C’est alors que vous pourrez les chasser pour vous
nourrir ; en veillant, encore une fois, à ne manger que ceux que vous aurez
vous-même abattus.

 

(27) Étant seulement au commencement du chemin de la vie, on ne peut
continuer d’élever des espèces qui ont déjà perdu les qualités de leur race, à cause de
l’exploitation abusive qui en a été faite. C’est donc l’ensemble de ce dont on se
nourrit qui doit retourner à l’état sauvage pour servir de réserves éternelles, les bêtes
assurément,
mais aussi l’ensemble des céréales, des légumes, des tubercules, des
plantes potagères, des fruits et autres espèces de végétaux. Après quoi, on pourra
prélever des spécimens pour les élever et les cultiver, avant d’en changer à nouveau.

(28) On ne peut effectivement sélectionner à l’infini des spécimens de chaque
espèce en fonction des critères que l’on établit soi-même, parce qu’il n’y a pas mieux
pour dénaturer ce dont on se nourrit – Les gènes sont les reflets de l’état du monde –
C’est pourquoi seule l’interdépendance des éléments de la création est en mesure de
garder ce qui doit l’être, et d’ôter ce qui ne doit point exister. Forgez-vous alors un
nouvel esprit plus proche des réalités, car tout ce que Dieu crée est parfait. En raison
de quoi, vous ne laisserez point vivre ceux qui tenteront encore de modifier les
organismes par toutes sortes de manipulations d’éléments du chromosome, parce
qu’ils ne sont point les créateurs des créatures pour modifier leur nature et celle du
monde entier.

Dieu nous autorise à tuer des animaux pour pouvoir nous nourrir  et aussi de les élever en les laissant à l'état naturel pour qu'ils ne dégénèrent pas. Il faut savoir dans ce stade si la castration a une utilité dans le troupeau comme celui de le rendre docile dans le sens qu'il présente un danger.

 

L'élevage dans le royaume

Les troupeaux seront sauvages comme les bisons en Amérique avant la colonisation des blancs. Mais la loi universelle nous dit que l'élevage ne sera pas interdit.

Le Livre de Vie de l'Agneau p.416 (La Loi Universelle)

La protection des animaux

(54) Écoute-moi, mon peuple ! Tu élèveras les animaux sans changer leur genre
et leur nature.
Tu ne leur donneras point de nourritures qui leur sont étrangères, ni
ne les obligeras à manger. Et tu t’abstiendras de faire des expériences médicales sur
eux, ou de les élever en les tenant constamment enfermés.

(55) Les plantes et les bêtes dont tu te nourriras devront exister aussi à l’état
sauvage. Si l’une de leurs espèces ne peut plus se maintenir dans la nature et tend à
disparaître, tu n’en garderas pas des spécimens pour les cultiver ou les élever ; car il
s’agirait d’êtres dégénérés pouvant affecter gravement ta santé.

(56) Pour que l’équilibre du monde se fasse, tu laisseras les animaux de toutes
espèces se multiplier librement, même si leur nombre t’apparaît élevé. Tu ne te
mêleras point de leur vie, et tu ne réduiras point leur nombre.

(57) Toutes les créatures animales sont indispensables au monde et ont, comme
toi, le droit de vivre sur la Terre. Aussi, pour rééquilibrer la nature, tu réintroduiras
dans ton pays les espèces de bêtes qui s’y trouvaient à l’origine et qui demeurent
encore dans le monde
. Alors, je te ferai vivre à l’ombre de ma main.

(58) Pour ne pas t’assombrir et être juste, tu admettras volontiers qu’une petite
partie de ce que tu cultives ou élèves soit mangée par les bêtes des champs.

(59) Lorsque les animaux auront retrouvé leur multitude, tu pourras chasser et
pêcher avec modération pour nourrir ta famille
. Et tu veilleras à ne pas tuer ceux que
la loi de Moïse protège.

(60) Tu mangeras seulement l’animal que toi ou un membre de ta famille aura
abattu,
car l’Éternel n’agrée ce sacrifice que par la peine éprouvée en lui ôtant la vie.
Tu rachèteras ainsi la vie d’un être innocent par ta peine. Sinon ne le mange pas, de
peur que moi, ton Dieu, je ne te maudisse.

(61) Tu ne captureras point les bêtes avec des pièges pouvant les maintenir dans
la souffrance. Et, pour les chasser, seules les armes utilisant la force humaine sont
admises par moi, l’Éternel. Toute arme d’une autre nature sera bannie de mon
royaume où elle ne peut être tolérée.

(62) Tu ne braveras point les animaux par jeux. Et tu ne les feras point se battre
entre eux, ni ne les dresseras pour qu’ils attaquent l’homme.

Tuer un animal doit être une peine pour l'homme et la souffrance de l'animal est en horreur à l'Eternel.

 

La souffrance de la victime

Parmi les mauvaises pratiques

La privation de liberté des bêtes et les cruautés commises sur elles ;

Apparemment, cela ne fait pas parti des mauvaises pratiques. On ne peut pas considérer que c'est dans le but de faire souffrir un animal. Pour les victimes les plus sensibles, la douleur est passagère pour la castration avec une pince à castrer.

Nous ne pouvons pas non plus considérer que c'est une privation de liberté pour un animal qui n'a pas conscience de sa liberté de procréer comme un humain.

 

La nature ou le genre ?

Le Livre de Vie de l'Agneau p.435

Je ne modifierai point la nature des êtres ni leurs nombres, car tout est parfait.
Je te fais la promesse de ne m’attribuer que les ouvrages de mes mains selon ta
nouvelle loi avec laquelle tu fais alliance éternelle avec les hommes.

La stérilisation ne modifie pas la nature ou le genre d'un animal. Le bœuf reste un mâle, mais l'acte doit rester utile. Personnellement je ne stériliserais pas un animal de petit taille comme un ovin ou un caprin. Les femelles non plus car elle sont plus docile que le mâles.

A mon idée, il ne reste que les bœufs et les ânes comme dans les versets de la Bible.

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
S
Délicat sujet! Il est aussi dit qu'il n'est pas indiqué de manger trop de viande. Il faut le faire avec parcimonie. La stérilisation, aucune idée! Mais il est vrai qu'un boeuf l'est pour le travail. J'avoue que je ne sais pas.
Répondre